chie ; mais elle n’en est pas le ressort, ibid. Comment on y supplée
dans le gouvernement monarchique,
III, 6. N’est point nécessaire
dans un état despotique, III, 8.
Quelles sont les vertus on usage
dans une monarchie, IV, 2. L’amour
de soi-même est la base des
vertus en usage dans une monarchie,
ibid. Les vertus ne sont, dans
une monarchie, que ce que l’honneur
veut qu’elles soient, ibid. Il
n’y en a aucune qui soit propre
aux esclaves, et par conséquent
aux sujets d’un despote, IV, 3.
Étoit le principe de la plupart des
gouvernements anciens, IV, 4.
Combien la pratique en est difficile,
ibid. Ce que c’est dans l’état
politique, V, 2. Ce que c’est, dans
un gouvernement aristocratique,
V, 8. Quelle est celle d’un citoyen,
dans une république, V, 18. Quand
un peuple est vertueux, il faut
peu de peines : exemples tirés des
lois romaines, VI, 11. Les femmes
perdent tout en la perdant, VII,
8. Elle se perd dans les républiques
avec l’esprit d’égalité, ou par
l’esprit d’égalité extrême, VIII, 2.
Ne se trouve qu’avec la liberté
bien entendue, VIII, 3. Réponse
à une objection tirée de ce que
l’auteur a dit, qu’il ne faut point
de vertu dans une monarchie, D.
Éclaircissements, 1.
Vestales. Pourquoi on leur avoit accordé le droit d’enfants, XXIII, 21.
Vicaires. Étoient, dans les commencements de la monarchie, des officiers militaires subordonnés aux comtes, XXX, 17.
Vices. Les vices politiques et les vices moraux ne sont pas les mêmes : c’est ce que doivent savoir les législateurs, XIX, 11.
Victoire (la). Quel en est l’objet, I, 3. C’est le christianisme qui empêche qu’on en abuse, II, 334.
VICTOR AMÉDÉE, roi de Sardaigne. Contradiction dans sa conduite, V, 19.
Vie. L’honneur défend, dans une monarchie, d’en faire aucun cas, IV, 2.
Vie future. Le bien de l’état exige qu’une religion qui n’en promet pas, soit suppléé par des lois sévères et sévèrement exécutées, XXIV, 14. Les religions qui ne l’admettent pas, peuvent tirer de ce faux principe des conséquences admirables : ceux qui l’admettent en peuvent tirer des conséquences funestes, XXIV, 19.
Vies des saints. Si elles ne sont pas véridiques sur les miracles, elles fournissent les plus grands éclaircissements sur l’origine des servitudes de la glèbe, et des fiefs, XXX, 11. Les mensonges qui y sont peuvent apprendre les mœurs et les lois du temps, parce qu’ils sont relatifs à ces mœurs et à ces lois, XXX, 21.
Vieillards. Combien il importe, dans une démocratie, que les jeunes gens leur soient subordonnés, V, 7. Leurs privilèges, à Rome, furent communiqués aux gens mariés qui avoient des enfants, XXIII, 21 Comment un état bien policé pourvoit à leur subsistance, XXIII, 29.
Vignes. Pourquoi furent arrachées dans les Gaules par Domitien, et replantées par Probus et Julien, XXI, 15.
Vignobles. Sont beaucoup plus peuplés que les pâturages et les terres à bled : pourquoi, XXIII, 14.
Vilains. Comment punis autrefois