ques, V, 3. Par qui la censure y
étoit exercée, V, 7. Loi funeste
qui y fut établie par les décemvirs,
V, 8. Sagesse de sa conduite,
pendant qu’elle inclina vers l’aristocratie,
ibid. Est admirable
dans rétablissement de ses censeurs,
ibid. Pourquoi, sous les
empereurs, les magistratures y
furent distinguées des emplois
militaires, V, 19. Combien les
lois y influoient dans les jugements,
VI, 3. Comment les lois
mirent un frein à la cupidité qui
auroit pu diriger les jugements
du peuple, VI, 5. Exemples de
l’excès du luxe qui s’y introduisit,
VII, 2. Comment les institutions
y changèrent avec le gouvernement,
VII, 11. Les femmes y
étoient dans une perpétuelle
tutelle. Cet usage fut abrogé :
pourquoi, VII, 12. La crainte de
Carthage l’affermit, VIII, 5. Quand
elle fut corrompue, on chercha en
vain un corps dans lequel l’on
pût trouver des juges intègres,
VIII, 12. Pendant qu’elle fut vertueuse,
les Plébéiens eurent la
magnanimité d’élever toujours les
patriciens aux dignités qu’ils s’étoient
rendues communes avec
eux, ibid. Les associations la mirent
en état d’attaquer l’univers,
et mirent les barbares en état de
lui résister, IX, I. Si Annibal l’eût
prise, c’étoit fait de la république
de Carthage, X, 6. Quel étoit l’objet
de son gouvernement, XI, 6.
On y pouvoit accuser les magistrats :
utilité de cet usage, XI,
6. Ce qui fut cause que le gouvernement
changea dans cette
république, ibid. Pourquoi cette
république, jusqu’au temps de
Marius n’a point été subjuguée
par ses propres armées, ibid. Description
et causes des révolutions
arrivées dans le gouvernement de
cet état, XI, 12. Quelle étoit la
nature de son gouvernement sous
les rois, ibid. Comment la forme
du gouvernement changea sous
les deux derniers rois, ibid. Ne
prit pas, après l’expulsion de ses
rois, le gouvernement qu’elle devoit
naturellement prendre, XI,
13. Par quels moyens le peuple
y établit sa liberté. Temps et
motifs de l’établissement des différentes
magistratures, XI, 14.
Comment le peuple s’y assembloit,
et quel étoit le temps de
ces assemblées, ibid. Comment,
dans l’état le plus florissant de la
république, elle perdit tout-à-coup
sa liberté, XI, 15. Révolutions qui
y furent causées par l’impression
que les spectacles y faisoient sur
le peuple, ibid. Puissance législative
dans cette république, XI, 16.
Ses institutions la sauvèrent de
la ruine où les Plébéiens l’entrainoient
par l’abus qu’ils faisoient
de leur puissance, ibid. Puissance
exécutrice dans cette république,
XI, 17. Belle description des passions
qui animoient cette république,
et de ses occupations ; et
comment elles étoient partagées
entre les différents corps, ibid.
Détail des différents corps et
tribunaux qui y eurent successivement
la puissance de juger.
Maux occasionnés par ces variations.
XI, 18. Maux qu’y causèrent
les traitants, ibid. Comment
gouverna les provinces dans les
différents degrés de son accroissement,
XI, 19. Comment on y
levoit les tributs, ibid. Pourquoi
la force des provinces conquises
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TABLE ANALYTIQUE