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ET ALPHABÉTIQUE.

Pontife. Il en faut un dans une religion qui a beaucoup de ministres, XXV, 8. Droit qu’il avoit, à Rome, sur les hérédités ; comment on l’éludoit, XXIX, 8.

Pontificat. En quelles mains doit être déposé, XXV, 8.

POPE. L’auteur n’a pas dit un mot du système de Pope, D. I, II. cinquième objection.

Population. Elle est en raison de la culture des terres et des arts, XVIII, 10. Les petite états lui sont plus favorables que les grands, XXIII, 24. Moyens que l’on employa sous Auguste pour la favoriser, XXVII, 1. Voyez Propagation.

Port d’armes. Ne doit pas être puni comme un crime capital, XXVI, 24.

Port franc. Il en faut un dans un état qui fait le commerce d’économie, XX, 11.

Ports de mer. Raison morale et physique de la population que l’on y remarque, malgré l’absence des hommes, XXIII, 13.

Portugais. Découvrent le cap de Bonne-Espérance, XXI, 21. Comment ils trafiquèrent aux Indes, ibid. Leurs conquêtes et leurs découvertes. Leur différend avec les Espagnols : par qui jugé, ibid. L’or qu’ils ont trouvé dans le Brésil les appauvrira, et achèvera d’appauvrir les Espagnols, XXI, 22, Bonne loi maritime de ce peuple. XXVI, 25.

Portugal. Combien le pouvoir du clergé y est utile au peuple, II, 4. Tout étranger que le droit du sang y appelleroit à la couronne, est rejeté, XXVI, 23.

Pouvoir. Comment on en peut réprimer l’abus, XI, 4.

Pouvoir arbitraire. Maux qu’il fait dans un état, XIII, 2.

Pouvoir paternel. N’est point l’origine du gouvernement d’un seul, I, 3.

Pouvoirs. Il y en a de trois sortes en chaque État, XI, 6. Comment sont distribués en Angleterre, ibid. Il est important qu’ils ne soient pas réunis dans la même personne, ou dans le même corps. Effets salutaires de la division des trois pouvoirs, ibid. A qui doivent être confiés, ibid. Comment furent distribués à Rome, XI, 14, 17 et 18. — Dans les provinces de la domination romaine, XI, 19.

Pouvoirs intermédiaires. Quelle est leur nécessité, et quel doit être leur usage dans la monarchie, II, 4. Quel corps doit plus naturellement en être dépositaire, ibid. Praticiens. Lorsqu’ils commencèrent à se former, les seigneurs perdirent l’usage d’assembler leurs pairs pour juger, XXVIII, 42. Les ouvrages de ceux qui vivoient du temps de saint Louis sont une des sources de nos coutumes de France, XXVIII, 45.

Pratiques religieuses. Plus une religion en est chargée, plus elle attache ses sectateurs, XXV, 2. Pratiques superstitieuses. Une religion qui fait consister dans leur observance le principal mérite de ses sectateurs, autorise par là les désordres, la débauche et les haines, XXIV, 14 et 22.

Préceptes. La religion en doit moins donner que de conseils, XXIV, 7.

Préceptions. Ce que c’étoit sous la première race de nos rois ; par qui et quand l’usage en fut aboli, XXXI, 2. Abus qu’on en fit, XXXI, 23.