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ET ALPHABÉTIQUE.


22. Descriptions de celles de France, lors de la réformation des coutumes, XXVIII, 45.

Mogol Comment il s’assure la couronne, V, 14. Ne reçoit aucune requête, si elle n’est accompagnée d’un présent, V, 17. Comment la fraude est punie dans ses états, XIII, 11.

Moines. Sont attachés à leur ordre par l’endroit qui le leur rend insupportable, V, 2. Cause de la dureté de leur caractère, VI, 9. L’institut de quelques-uns est ridicule, si le poisson est, comme on le croit, utile à la génération, XXIII, 13. Sont une nation paresseuse, et qui entretenoit, en Angleterre, la paresse des autres ; chassés d’Angleterre par Henri VIII, XXIII, 20. C’est eux qui ont formé l’inquisition, XXVI, 11. Maximes injustes qu’ils y ont introduites, XXVI, 12. N’ont fait que copier, pour l’inquisition contre les Juifs, les lois faites autrefois par les évêques pour les Wisigoths, XXVIII, 1. La charité de ceux d’autrefois leur faisoit racheter les captifs, XXX, II. Ne cessent de louer la dévotion de Pépin, à cause des libéralités que la politique lui fit faire aux églises, XXXI, 9.

MOÏSE. On aurait dû, pour arrêter la communication du mal vénérien, prendre pour modèle les lois de Moïse sur la lèpre, XIV, 11. Le caractère des Juifs l'a souvent forcé, dans ses lois, de se relâcher de la loi naturelle, XV, 17. A voit réglé qu’aucun Hébreu ne pourrait être esclave que six ans ; cette loi étoit fort sage : pourquoi XV, 14. Comment veut que ceux des Juifs qui avoient plusieurs femmes les traitassent, XVI, 7. Réflexion qui est l’éponge de toutes les difficultés que l’on peut opposer à ses lois, XIX, 21. Sagesse de ses lois au sujet des asiles, XXV, 3. Pourquoi a permis le mariage entre le beau-frère et la belle-sœur, XXVI, 14.

Molosses. Se trompèrent dans le choix des moyens qu’ils employèrent pour tempérer le pouvoir monarchique, XI, 10.

Monachisme. Ravages qu’il fait dans les pays où il est trop multiplié : pourquoi il est plus multiplié dans les pays chauds qu’ailleurs : c’est dans ces pays qu’on en devrait plus arrêter les progrès, XIV, 7. Doit, dans les pays où il est établi, gêner la liberté des enfants sur le mariage, XXIII, 8. Voyez Moines.

Monarchie. Quelles sont les lois qui en dérivent, II, 4. Ce que c’est, et ce qui en constitue la nature, ibid. Quelle en est la maxime fondamentale, ibid. Les justices seigneuriales et ecclésiastiques y sont nécessaires, ibid. Les pouvoirs intermédiaires sont essentiels à sa constitution, ibid. 11 doit y avoir un dépôt intermédiaire pour les lois ; à qui il doit être confié, ibid. Quel en est le principe, III, 2 et 7. Peut se soutenir sans beaucoup de probité, III, 3. La vertu n’est point le priucipe de ce gouvernement, III, 5. Comment elle subsiste, ibid. Les crimes publics y sont pins privés que dans une république, ibid. Comment on y supplée à la vertu, III, 6. L’ambition y est fort utile : pourquoi, III, 7. Illusion qui y est utile, et à laquelle on doit se prêter, ibid. Pourquoi