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TABLE ANALYTIQUE

Cas où les lois en dépendent, ibid.

MANLIUS. Moyens qu’il employoit pour réussir dans ses desseins ambitieux, XII, 21.

Mansus. Ce que signifie ce mot dans le langage des capitulaires, XXX, 13.

MANUEL COMNÈNE. Injustices commises sous son règne, sous prétexte de magie, XII, 5.

Manufactures. Sont nécessaires dans nos gouvernements ; doit-on chercher à en simplifier les machines ? XXIII, 15.

MARC ANTONIN. Sénatus-consulte qu’il fit prononcer touchant les mariages, XXVI, 14.

Marchands. Il est bon, dans les gouvernements despotiques, qu’ils aient une sauvegarde personnelle, XIII, 11. Leurs fonctions et leur utilité dans un état modéré, XIII, 14. Ne doivent point être gênés par les difficultés des fermiers, XX, 13. Les Romains les rangeoient dans la classe des plus vils habitants, XXI, 14.

Marchandises. Les impôts que l'on met sur les marchandises sont les plus commodes et les moins onéreux, XIII, 7. Ne doivent point être confisquées, même en temps de guerre, si ce n’est par représailles ; bonne politique des Anglois ; mauvaise politique des Espagnols sur cette matière, XX, 14. En peut-ou fixer le prix ? XXII, 7. Comment on en fixe le prix dans la variation des richesses de signe, ibid. Leur quantité croît par une augmentation de commerce, XXII, 8.

MARCUFLE. La formule qu’il rapporte, et qui traite d’impie la coutume qui prive les filles de la succession de leur père, est-elle juste ? XXVI, 6. Appelle antrustions du roi ce que nous appelons t»es vassaux, XXX, 10.

Mariage. Pourquoi celui de plus proche parent avec l’héritière est ordonné chez quelques peuples, V, 5. Il étoit permis, à Athènes, d’épouser sa sœur consanguine, et non pas sa sœur utérine ; esprit de cette loi, ibid. A Lacédémone, il étoit permis d’épouser sa sœur utérine, et non pas si sœur consanguine, ibid. A Alexandrie, on pouvoit épouser sa sœur, soit consanguine, soit utérine, ibid. Comment se faisoit ches les Samnites, VII, 10. Utilité des mariages entre le peuple vainqueur et le peuple vaincu, X, 14. Le mariage des peuples qui ne cultivent pas les terres n’est point indissoluble ; on y a plusieurs femmes à la fois ; ou personne n’a de femmes, et tous les hommes usent de toutes, XVIII, 13, 24. A été établi par la nécessité qu’il y a de trouver un père aux enfants, pour les nourrir et les élever, XXIII, 2. Est-il juste que les mariages des enfante dépendent des pères ? XXIII, 7. Étoient réglés à Lacédémone par les seuls magistrats, ibid. La liberté des enfants, à l’égard des mariages, doit être plus gênée dans les pays où le monachisme est établi, qu’ailleurs, XXIII, 8. Les filles y sont plus portées que les garçons : pourquoi, XXIII, 9. Motifs qui les y déterminent, XXIII, 10. Détail des lois romaines sur cette matière. XXIII, 21. Étoit défendu, à Rome, entre gens trop âgés pour avoir des enfants, ibid. Étoit défendu, à Rome, entre gens de conditions trop inégales ; quand a com-