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ET ALPHABÉTIQUE.


Combien les lois criminelles y ôtoient imparfaites, XII, 2.

Curies. Ce que c’étoit à Rome : à qui elles donnoieni le plus d’autorité, XI, 14.

Cynète. Les peuples y étoient plus cruels que dans tout le reste de la Grèce, parce qu’ils ne cultivoient pas la musique, IV, 8.

CYRUS. Fausses précautions qu’il prit pour conserver ses conquêtes, X, 12.

Czar. Voyez Pierre I.

Czarine (Anne). Injustice qu’elle commit, sous prétexte du crime de lèse-majesté, XII, 12.


D


DAGOBERT. Pourquoi fut obligé de se défaire de l’Austrasie en faveur de son fils, XXXI, 3. Ce que c’étoit que sa chaire, XXXI, 33.

Danois, Conséquences funestes qu’ils tiroient du dogme de l’immortalité de rame, XXIV, 19.

Dantsik. Profits que cette ville tire du commerce de bled qu’elle fait avec la Pologne, XX, 9.

DARIUS. Ses découvertes maritimes ne lui furent d’aucune utilité pour le commerce, XXI, 8.

DAVILA. Mauvaise raison de cet auteur touchant la majorité de Charles IX, XXIX, 16.

Débiteurs. Comment devroient être traités dans une république. Époque de leur affranchissement de la Servitude à Rome : révolution qui en pensa résulter, XII, 21.

Déconfès. Ce que c’étoit : étoient punis par la privation de la communion et de la sépulture, XXVIII, 41.

Décemvirs. Pourquoi établirent des peines capitales contre les auteurs de libelles et contre les poètes, VI, 15. Leur origine, leur maladresse, et leur injustice dans le gouvernement : causes de leur chute, XI, 15. Il y a, dans la loi des douze tables, plus d’un endroit qui prouve leur dessein de choquer l’esprit de la démocratie, XII, 21.

Décrétâles. On en a beaucoup inséré dans les recueils des canons, XXVIII, 9. Comment on en prit les formes Judiciaires, plutôt que celles du droit romain, XXVIII, 40. Sont, à proprement parler, dos rescrits des papes ; et les rescrits sont une mauvaise sorte de législation : pourquoi, XXIX, 17.

Défaute de droit. Ce que c’étoit, XXVIII, 27. Quand, comment, et contre qui donnoit lieu au combat judiciaire, XXVIII, 28. Voyez Appel de défaute de droit.

DÉFONTAINE. C’est chez lui qu’il faut chercher la jurisprudence du combat judiciaire, XXVIII, 23. Passage de cet auteur, mal entendu jusqu’ici, expliqué, XXVIII, 31. Pour quelles provinces il a travaillé, XXVIII, 38. Son excellent ouvrage est une des sources des coutumes de France, XXVIII, 45.

Déisme. Quoiqu’il soit incompatible avec le spinosisme, le gazetier ecclésiastique ne laisse pas de les cumuler sans cesse sur la tête de l’auteur : preuve qu’il n’est ni déiste, ni athée, D. I, 1.

Délateurs. Comment, à Venise, ils font parvenir leurs délations, V, 8. Ce qui donna naissance, à Rome, à ce genre d’hommes funestes. Établissement sage, parmi nous, à cet égard, VI, 8.