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ET ALPHABÉTIQUE.


Moyens propres à abaisser les états qui font le commerce d’économie. Est-il bon d’en faire usage ? XX, 8. On ne doit, sans de grandes raisons, exclure aucune nation de son commerce, encore moins s’assujettir à ne commercer qu’avec une seule nation, XX, 9. L’établissement des banques est bon pour le commerce d’économie seulement, XX, 10. L’établissement des compagnies de négociants ne convient point dans la monarchie ; souvent même ne convient pas dans les états libres, ibid. Ses intérêts ne sont point opposés à l’établissement d’un port franc dans les états libres ; c’est le contraire dans les monarchies, XX, 11. Il ne faut pas confondre la liberté du commerce avec celle du commerçant : celle du commerçant est fort gênée dans les états libres, et fort étendue dans les états soumis à un pouvoir absolu, XX, 12. Quel en est l’objet, ibid. La liberté en est détruite par les douanes, quand elles sont affermées, XX, 13. Est-il bon de confisquer les marchandises prises sur les ennemis, et de rompre tout commerce, soit passif, soit actif, avec eux, XX, 14. Il est bon que la contrainte par corps ait lieu dans les affaires qui le concernent, XX, 15. Des lois qui en établissent la sûreté, XX, 16 et 17. Des Juges pour le commerce, XX, 18. Dans les villes où il est établi, il faut beaucoup de lois et peu de Juges, ibid. Il ne doit point être fait par le prince, XX, 19. Celui des Portugais et des Castillans dans les Indes orientales fut ruiné quand leurs princes s’en emparèrent, XX, 20. Il est avantageux aux nations qui n’ont besoin de rien, et onéreux à celles qui ont besoin de tout, XX, 23. Avantages qu’en peuvent retirer les peuples qui sont en état de supporter une grande exportation, et une grande importation en même temps, ibid. Rend utiles les choses superflues ; et les choses utiles nécessaires, ibid. Considéré dans les révolutions qu’il a eues dans le monde, XXI, 1. Pourquoi, malgré les révolutions auxquelles il est sujet, sa nature est irrévocablement filée dans certains états, comme aux Indes, ibid. Pourquoi celui des Indes ne se fait et ne se fera Jamais qu’avec de l’argent, XXI, 6. Pourquoi celui qui se fait en Afrique est et sera toujours si avantageux, XXI, 2. Raisons physiques des causes qui en maintiennent la balance entre les peuples du nord et ceux du midi, XXI, 3. Différence entre celui des anciens et celui d’aujourd’hui, XXI, 4. Fuit l’oppression et cherche la liberté ; c’est une des principales causes des différences qu’on trouve entre celui des anciens et le nôtre, XXI, 5. Sa cause et ses effets, XXI, 6. Celui des anciens, ibid. Comment et par où il se faisoit autrefois dans les Indes, ibid. Quel étoit autrefois celui d’Asie : comment et par où il se faisoit, ibid. Mature et étendue de celui des Tyriens, ibid. Combien celui des Tyriens tiroit d’avantages de l’imperfection de la navigation des anciens, ibid. Étendue et durée de celui des Juifs, ibid. Nature et étendue de celui des Égyptiens, ibid. — de celui des Phéniciens, ibid. — de celui des Grecs, avant et depuis