Page:Montesquieu - Œuvres complètes, éd. Laboulaye, t3.djvu/334

Cette page n’a pas encore été corrigée
242
DE L'ESPRIT DES LOIS.


de ne pouvoir prêter sa femme à un autre, ni recevoir celle d’un autre, de n’être jamais dans sa maison qu’avec des vierges ? En un mot, tout ce que la loi appelle une peine est effectivement une peine.



______________