Page:Montesquieu - Œuvres complètes, éd. Laboulaye, t2.djvu/451

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
435
TABLE DES MATIÈRES.

Désertions. Pourquoi elles sont communes dans nos armées ; pourquoi elles étaient rares dans celles des Romains, 130.

Despotique. S’il y a une puissance qui le soit à tous égards, 315.

Despotisme. Opère plutôt l’oppression des sujets que leur union, 192.

Dictature. Son établissement, 183.

DIOCLÉTIEN. Introduit l’usage d’associer plusieurs princes à l’empire, 261.

Discipline militaire. Les Romains réparaient leurs pertes en la rétablissant dans toute sa vigueur, 129. Adrien la rétablit : Sévère la laisse se relâcher, 255. Plusieurs empereurs massacrés pour avoir tenté de la rétablir, ibid. et suiv. Tout à fait anéantie chez les Romains, 274. Les Barbares incorporés dans les armées romaines ne veulent pas s’y soumettre, 275. Comparaison de son ancienne rigidité avec son relâchement, 276.

Disputes. Naturelles aux Grecs, 313. Opiniâtres en matière de religion, ibid. Quels égards elles méritent de la part des souverains, 315.

Divination par l’eau d’un bassin : en usage dans l’empire grec, 301.

Divisions. S’apaisent plus aisément dans un état monarchique que dans un état républicain, 140. Divisions dans Rome, 180 et suiv.

DOMITIEN, empereur. Monstre de cruauté, 243.

DRUSILE. L’empereur Caligula, son frère, lui fait décerner les honneurs divins, 239.

DUILLIUS (le consul). Gagne une bataille navale sur les Carthaginois, 146.

DURONIUS (le tribun M.). Chassé du sénat : pourquoi, 185.

E

École militaire des Romains, 128.

Égypte. Idée du gouvernement de ce royaume après la mort d’Alexandre, 158. Mauvaise conduite de ses rois, 160. Conquise par Auguste, 264.

Égyptiens. En quoi consistaient leurs principales forces, 161. Les Romains les privent des troupes auxiliaires qu’ils tiraient de la Grèce, ibid.

Empereurs romains. Étaient chefs nés des armées, 225. Leur puissance grossit par degrés, 229. Les plus cruels n’étaient point hais du bas peuple : pourquoi, 237. Étaient proclamés par les armées romaines, 241. Inconvénients de cette forme d’élection, ibid. et suiv. Tâchent en vain de faire respecter l’autorité du sénat, ibid. Successeurs de Néron, jusqu’à Vespasien. 243. Leur puissance pouvait paraître plus tyrannique que celle des princes de nos jours : pourquoi, 247. Souvent étrangers : pourquoi, 250. Meurtre de plusieurs empereurs de suite, depuis Alexandre jusqu’à Dèce inclusivement, 256. Qui rétablissent l’empire chancelant, 259-260. Leur vie commence à être plus en sûreté, 262. Mènent une vie plus molle et moins appliquée aux affaires, ibid. Veulent se faire adorer, 263. Peints de différentes couleurs, suivant les passions de leurs historiens, 267. Plusieurs empereurs grecs haïs de leurs sujets, pour cause de religion, 300-301. Dispositions des peuples à leur égard, 302. Réveillent les disputes théologiques, au lieu de les assoupir, 315. Laissent