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et du lion également calomniés ; mais on avait été unanime à louer la grâce de ces portraits athéniens que l’on devait retrouver plus tard dans le délicieux article sur les Jeunes gens de Platon, une latinité exquise s’élevant par endroits jusqu’à l’éloquence, la souplesse de talent que révélait la thèse française et qui promettait à la fois un historien, un critique littéraire et un moraliste satirique. Cette soutenance du doctorat fut le dernier acte de la vie universitaire de Taine. Sa vie de savant et d’homme de lettres allait commencer.