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A MONSEIGNEVR, LOVÌS DE BOVRBON ET DE CONDF, DVC D’ENGVIEN. 0NSElGN£FR’, £e Liure fret and droit, ç$ prerogatiue daineffe^ fat dejfus les deus desesfrères, qui, depuis peu ,fe foriî ietés fous la protection de VOTRE GRAND EVR, Ç$,comme il peut croire’, jonde fur cet auantage, qu il a ete conceu le premier des trois,^ a veu ï heure defa naissance^allant deuançer la leur, fi le désastres neutre carde fa sortie, comme celle d’<vn autre Efau

non quil soit piqué

d’anuie du bon- heur dessiens, lesquels il aime, a l’egal desoi-même , commet la nature lui suggère , &son père lui ordonne : mais d autant quilfçaitetrc^j deson deuoir,que le monde connoiffe, qu’il vous est acquis, par titre de Vajfal Ltge,auant memefa conception,tout ainfi,que le resle de fa race : gf que, fi lç_j fort de fa natiuiténe lui a reufi yneantmoins il confisque quant à taffeâion^ £g’quant aus forces, il s’est maintenu dans les termes de taffeófueus refjbet, dont il estobligé bien etroitemant a VOT RE A LT E s s E : austi neft-ilpas an> apprehanfion, que p s cadets ne lui contestent la préséance , dans votre biblio- thèque, connoiffant leur dous naturel, comme au réciproque, il ne leur anuiem iamais leur rang, an cas, qu ils soient placés au dejfus de luirvéu que tout son bon-heur confste,a toufiour s agréer ï exfecution de votre volonté •>& à fçauom que vous daigniés le voir de bon oe$l,la part ou il fera : moins s’excusera - t’il fur ce, qu’il n est arriuéprés de vous, du tams, que VOTRE GRANDEVR áa. s>occupoït>