Page:Momas - Association de demi-vierges, tome 1.djvu/118

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Oui, on colle les lèvres sur mes seins, dans mes cuisses, sur mon derrière.

— Dites, sur mon cul.

— Sur mon cul ! la langue de mon adorateur sort des lèvres, me mouille.

— Vous pensez à un adorateur !

— J’entrevois un homme à la place de mon amie.

— Confessez-vous de votre amie à présent.

— Dois-je la nommer ?

— Je comprends votre question ! Si je vous le demandais, vous le devriez ; mais, comme ces pratiques exigent de la discrétion, et qu’il faut la respecter, je ne vous le demanderai pas. Je vous dirai que je la connais, que je sais ce qu’il en est, et je vous la nommerai pour vous mettre à l’aise. Elle s’appelle Reine de Grandpellier, suis-je bien informé ?

— Oui, mon père, elle s’est confessée.

— Elle n’a pas dit votre nom, mon enfant, et si elle l’avait dit, je me serais tu, parce qu’elle l’aurait avoué au confesseur. Je le sais d’ailleurs. Vous avez donc avec Reine des relations… inavouables.