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sité sexuelles. Il s’accouda, écouta, elle ne bougeait plus.

Il repoussa ses draps dans le dessein de la rejoindre ; il lui naquit une nouvelle fantaisie : se dépouillant de sa chemise de nuit, il se mit tout nu, et toujours accoudé, il appela :

— Rita, Rita.

La fillette ne s’était pas encore rendormie, elle se secoua, se leva et se dirigea vers la chambre, en répondant :

— Tu m’appelles, Célestin ?

Elle l’aperçut ainsi tout nu, la queue en érection ; elle s’approcha, il lui dit :

— Tu vois bien que je suis nu, ôte ta chemise.

Lorsqu’elle eut obéi, il continua en lui montrant ses cuisses :

— Tiens, pose ta tête là-dessus et regarde ton maître.

— Mon maître !

— En douterais-tu ?

— Mon maître, ce bout de chair !

— Oh, ce bout de chair ! Il est long, long et gros.

— Je le regarde, il est tout droit !

— Baise-le tout autour, et puis suce-le.