Prend garde.
Ô bonheur ! la voilà qui sort tout à propos.
Scène 3
Ah ! que le ciel m’oblige en offrant à ma vue
Les célestes attraits dont vous êtes pourvue !
Et, quelque mal cuisant que m’aient causé vos yeux,
Que je prends de plaisir à les voir en ces lieux !
Mon cœur, qu’avec raison votre discours étonne,
N’entend pas que mes yeux fassent mal à personne ;
Et si dans quelque chose ils vous ont outragé,
Je puis vous assurer que c’est sans mon congé.
Ah ! leurs coups sont trop beaux pour me faire une injure !
Je mets toute ma gloire à chérir leur blessure,
Et…
Ce style maintenant n’est pas ce qu’il nous faut.
Profitons mieux du temps, et sachons vite d’elle
Ce que…
Ce malheureux vieillard devait-il nous troubler ?
Allez, retirez-vous ; je saurai lui parler.
Scène 4
Que faites-vous dehors ? et quel soin vous talonne,
Vous à qui je défends de parler à personne ?