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Le dénoûment qui termine aujourd’hui la pièce n’existait pas. Marion se traînait en vain à deux genoux, sollicitant le pardon de Didier ; celui-ci la repoussait et ne trouvait d’accents que pour la maudire.
— Pauvre femme ! disait-on, c’est bien dur !… pourquoi ne pas lui pardonner ?
— Parce que la moralité de la pièce le veut ainsi, répondait l’auteur.
— N’importe, murmurait madame Dorval, Didier est vraiment trop cruel.
— Faites pardonner ! monsieur Hugo ; faites pardonner ! s’écria-t-on de toutes parts.
Hugo se laissa fléchir, et, le lendemain, il apporta cette magnifique scène du par-