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presque seul en faveur auprès du comité de la Comédie-Française.
La lutte, comme on le voit, devenait difficile.
Mais le poëte l’avait acceptée dans toute son étendue.
Par ses Odes et Ballades, il fit rayonner son étoile à côté de l’astre de Byron.
Restait à lutter contre Walter Scott et à contraindre M. Delavigne à céder une portion du terrain dont il était possesseur.
Victor Hugo publia le Dernier jour d’un condamné, puis Notre-Dame de Paris, ce géant des livres, devant lequel toutes les œuvres du conteur anglais pâlissent et se prosternent.
Quant à M. Delavigne, il fut obligé de saluer Hernani, qui venait d’envahir