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de ce vestige de mœurs aristocratiques.

Après le dîner, on retourne dans le parc, ou bien on va dans la cour caresser les chiens, chanter sous les arbres, jouer au volant.

S’il pleut, on se réfugie dans le salon.

Madame Sand se met au piano. Elle improvise, comme Listz, son ami et son maître, ou exécute des morceaux de Mozart.

Quant à Maurice[1], il dessine ou peint à l’aquarelle. C’est principalement dans les petites compositions empruntées aux romans de sa mère que son crayon déploie du goût et de la finesse. Le journal l’Illustration publie ses croquis.

Quelquefois madame Sand donne à lire

  1. Solange, aujourd’hui mariée, n’habite plus avec sa mère.