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Valentine reste évidemment au-dessous d’elle-même. On la voit publier tour à tour Horace, la Petite Fadette, le Compagnon du tour de France, Consuelo[1], Jeanne, la Comtesse de Rudolstadt, Fanchette, la Mare au Diable[2], le Péché de monsieur Antoine, l’Orco, les Maîtres Sonneurs, etc.

« Elle s’accola, dit M. de Loménie,

  1. Ce dernier livre, au milieu de ceux que nous citons, est le seul peut-être qui rappelle les beaux jours du talent de l’auteur.
  2. Madame Sand, pour une reproduction qui n’avait point été autorisée, ou pour quelque autre motif analogue, força la Société des gens de lettres d’acheter toute l’édition de ce livre, qui ne se vendait pas. Sans M. le baron Taylor, qui vint au secours de l’association, les huissiers de madame Sand eussent vendu jusqu’au fauteuil du président. C’était au plus beau moment des prédications républicaines et fraternelles de notre héroïne. Nous aurions désiré plus d’accord entre ses actes et ses principes.