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où Jules Sandeau, son jeune ami de Nohant, ne tarde pas à la découvrir.
Aurore était absolument dénuée de ressources.
Quant à Jules Sandeau, fils d’un modeste employé aux droits-réunis, il ne recevait de sa famille qu’une subvention médiocre et luttait lui-même contre le besoin.
Madame Dudevant savait un peu de peinture. Elle s’adressa à un tabletier, qui lui fit peindre des dessus de guéridon et de tabatières ; mais ce travail ingrat et peu rétribué la fatiguait sans chasser la gêne.
Ils se décidèrent à écrire à Henri de Latouche, leur compatriote, alors rédacteur en chef du Figaro.
Latouche répondit, en les invitant à ve-