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notre amitié pour une femme reste longtemps sans mélange d’amour.
Jules Sandeau retourna à Paris, emportant dans son cœur une passion profonde, dont il n’avait pas osé faire l’aveu.
Quant au Malgache, il ne tarda pas à subir lui-même l’influence des charmes d’Aurore. On trouve dans le livre que nous citons en note[1] la narration de cet amour, recouverte seulement d’un léger voile, sous la transparence duquel tout se devine.
« Une femme de nos environs, à laquelle il envoyait de temps en temps un bouquet, un papillon ou une coquille, lui inspira une franche amitié, à laquelle elle répondit franchement ; mais la manie de jouer
- ↑ Page 208.