AU PACJI’IQUE.
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Fraaer et de la Thompson jusqu’à celle de la Columbia. La Chalne lU Cascades est composée de roches granitiques et plutoIIiques, mélangées par places de scbiates argileux et de calcaires semi-cristallins.
Le Caribou est le district le plus riche de la région aurifère dans la Colombie Britannique, et c’est là que se sont surtout fait sentir les révolutions géologiques. Figurez-vous une mer de montagnes et de collines recouvertes de sapins. Les premières vont jusqu’à sept ou huit mille pieds, entourées par un confus amas des autres. Partout le sol a été agité, au point qu’excepté le fond des étroits ravins cavés entre les collines, on y trouve _ peine un pied de terrain uni. Les diverses couches y sont redressées de champ, et les lils des cours d’eau sont portés sur les cimes des hauteurs. Autour de ce centre des richesses rejetées des entrailles de la terre, la branche principale du Fraser s’enroule en un cours semi-circulaire ; elle en reçoit par de nom
breux tributaires l’or que contiennent ses sables.
C’est en effet sur les bancs de sable du Fraser inférieur que le premier or a été découvert sous la forme d’une poussière trèsfine. Les anciens mineurs de la CWtornie ont remonté le Fraser ea y lavant l’or durant quatre cents milles, voyant le grain toujours fll’OI8ir ; puis ils remontèrent les petits afDuents qui desC8Bdent du Caribou. Ici on trouva des pépites d’OI’ et des blocs de quartz aurifère. La cha.sae à ce métal pricieux a été port6e _ l"utrtme ; mais elle n’est pas terminée. n S’eD faut que toutes.la veines de qoartz aient été découvertes ; on Il’en est encore qu’.. conjectures sur leur situation probable. Les tolTellts Ga er– Lichtoing, AntIer, Keighley, William et autres, en auez gr881i DCMnbre, prennent tous leur source dans une chidne appeIée-1ea Monts Chauves et, pour la plupart, rayonnent autDur – le hue d’un de ces monta appelé la Montagne de la Baquetle (SnetOlhoe JfounlGin). On suppose que la matrice, GU pJu16t la gaugue de l’or, est en cet ead.roit. n se peut que la
