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ODE A CAMOENS


Ton bras n’est point lassé ni ta veine tarie,
Espère et souviens-toi !.. Louange à la patrie
Qui, pour guider ses pas vers des jours triomphants,
Pour aller aux destins que le siècle lui garde,
Peut, vantant son passé, faire sa sauvegarde
De la gloire de ses enfants !




En 1867, a paru la première édition de cette poésie écrite pour fêter l’inauguration à Lisbonne du Monument de Camoëns.

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Lisboa, 26 de fevereiro de 1868.

« Illmo Sr Achille Millien, meu carissimo confrade, ......... « os versos de VS° sobre a inauguração do monumento a Camões… por isso me permitto supplicar a VS° o favor de m’os remetter não só para regalo meu, senão tambem para eu ter a honra de os appresentar à nossa Academia, e de os fazer ao mesmo tempo publicar em algum jornal…

« A. F. Castilho. »


Lisbonne, 2 j. 1868.

« Cher Monsieur Millien,
.....« Voulez-vous me permettre de faire imprimer ici votre excellente poésie à Camoens ? Je n’ose pas en disposer sans votre expresse autorisation… Mille amitiés.

« Mendes Leal. »



Marseille - Imprimerie Economique, 19, rue de la Providence.