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reconnaissait quelque chose de son dialecte vulgaire dans l’Iliade ou l’Odyssée.


Chapitre III. — Du temps ou vécut Homère. — Un grand nombre de passages indiquent des époques de civilisation très diverses, et portent à croire que les deux poèmes ont été travaillés par plusieurs mains, et continués pendant plusieurs âges.


Chapitre IV. — Pourquoi le génie d’Homère dans la poésie héroïque ne peut jamais être égalé. — C’est que les caractères des héros qu’il a peints ne se rapportent pas à des êtres individuels, mais sont plutôt des symboles populaires de chaque caractère moral. Observations sur la comédie et la tragédie.


Chapitres V et VI. — Observations philosophiques et philologiques, qui doivent servir à la découverte du véritable Homère. La plupart des observations philosophiques rentrent dans ce qui a été dit au second livre, sur l’origine de la poésie.


Chapitre VII. — § I. Découverte du véritable Homère. — § II. Tout ce qui était absurde et invraisemblable dans l’Homère que l’on s’est figuré jusqu’ici, devient dans notre Homère convenance et nécessité. — § III. On doit trouver dans les poèmes d’Homère les deux principales sources des faits relatifs au droit naturel dea gens, considéré chez les Grecs.


Appendice. — Histoire raisonnée des poètes dramatiques et lyriques. — Trois âges dans la poésie lyrique, comme dans la tragédie.