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L’ESCOLE DES FILLES

Fanchon. Vrayement ouy, et quoy donc ?

Susanne. Laisse moy gouverner ceste affaire, car c’est mon mestier cela, et c’est un grand hazard, au cas que la personne t’ayme un tant soit peu, si je n’en viens à bout. J’ay faict des mariages plus d’un, penses-tu. Mais voylà l’horloge qui sonne ; adieu, nous parlerons de cela à une autre fois.

Fanchon. Adieu, ma cousine, en vous remerciant.

Fanchon. Adieu, jusques à revoir.

Quo me fata trahunt.
FIN DE L’ESCOLE DES FILLES.