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iv
TEMOIGNAGES


« n’avoit pas eu communication de l’Escole des Filles, il en fut quitte pour voir casser la planche qu’il avoit gravée, avec défense à lui d’en graver une seconde, si quelque imprimeur la lui demandoit. Il s’en faut bien que l’estampe qui est au devant de l’Escole des Filles que l’on vient d’imprimer en Hollande soit aussi correcte qu’étoit celle de Chauveau. Peu de personnes ont de celles qui furent brûlées à Paris avec le livre. »

Carpenteriana, ou remarques d’histoire, de morale, de critique, d’érudition et bons mots de M. Charpentier, de l’Académie françoise, in-12, Paris, 1724, p. 79-82.

« On a ici pendu en effigie un nommé Milot, avéré auteur d’un infame livre intitulé l’Escole des Filles, que l’on dit être tiré de l’Arétin.»

Guy Patin à Charles Spon, à la date du 26 juillet 1655, édit. des Lettres de 1718, t. 2, p. 123.