Page:Michaud - Biographie universelle ancienne et moderne - 1811 - Tome 20.djvu/644

Cette page n’a pas encore été corrigée

^ !î HOW HOZ 1 648-52, in-4". : c’est 11 11 ouvrage allénii aujoiircVbui pour ses nombrrax goriqne sur riiisloire du commenceouvrages, que pour avoir été l’objet ment (lu XVII*". siècle, où l’on cle’moude la cure la plus étonnante et la Ire par quelle voie et en cOLibien de Hiieux constatée que le chevalier Digby teuips on peut prendre un tab !eau ait opérée avec sa poudre de sympacxact des royaumes et états de la thie. Blessé grièvement aux deux chiélieiaé, et parvenir à la connaismains, et ne recevant aucun secours sauce pratique dis langues ; 1642 des chirurgiens, qui étaient sur le rt i65<> , avec des additions. III . point d*eu venir à une cruelle ampu-Epistoîœ llœlianœ {Lettres familiètation pour prévenir la gangrène, il Tes domestiques et étrangères) , eut recours à Digby, qui, en faisant 1645 ; une 2^ partie parut eu 1647 , ses pansements, non sur le malade, et louifs deux furent réimprimées avec mais sur un linge imprégné du sang nue J* ". en i65o. C’est ce que l’aude la blessure, In guérit radicalement leur a fait de mieux, malgré les jeux avec une promptitude incroyable. IjC de mots qui déshonorent sa plume, roi Jacques, le duc de l^uckingham , On y trouve en grande partie l’hisdont Howel était secrétaire, des métoire du période trop intéressant où decins et des savants examinèient il vécut, et des faits instructifs et pi- toutes les circonstances de cette guéquants. Ce recueil a eu beaucoup de’rison , et furent convaincus de sa ditioiis, notamment une onzième en réalite : Bacon lui - même cite ce 1754, in-8°. IV. Lustra Ludovici ^ fait comme digne de la plus grande ©u la Fie de Louis Xlll, V. Bella attention. Digby donna au roi le sc-Scot-An ^lica , Précis de toutes les cret de la composition de sa poudre , batailles entre l’Angleterre et VE- qui n’était que d«i vitriol calciné ; et cosse, etc., 1648. I. Ahrév,é d^s il en expliquait les efTits par la phigtterres de Jérusalem. ^i. Par- losophie corpusculaire. Kircher,Contkenopeia, ou ffiitoire de Naples ^ ring et autres savants du xvn’. siècle. 1654. VIlï. Lexicon tetraglotton nient ces guérisons , ou les attribuent {Dictionnaire ariglai s, français, itaà Topération du diable. Les magJié* lien, espagnol, etc.), Loiidres, 1660, tiseurs modernes qui prétendent opcin-fol. lX. Grammaire française j et rer aussi quelquefois des guérison.s à Dialoouc contenant tous les gallicisdistance, y voient un effet magnétique rues, avec un Becueil des meilleurs auquel la volonté forte du guérisseur l’roverbes , ’ié. , Londres, 1675, a une grande part ; ce qui expliquerait in- fol. X . La Conférence des ani- pourquoi cette poudre de sympathie liiaux, ()o. ^. Noui^elle Gramestdemeurée incilicace entre les maïus maire anglaise pour les étrangers, de ceux qui ne lui attribuaient qu’une avecQi’.ç Grammaire des langues espropriété purement physique. Voyez fagnole et castillane , ci de^ Hemar- à cet égard un cuiieux article de ^ues particulières sur le dialecte por-M. Deleuze dans les Annales du tugais, 1662, iu-H«. Xll. Des Poe- magnétisme animal, n" . 16, ou sies , recueillies et publiées par Payue tome ni, pag. 1 f>o. L. l’ishcr. James Iloweil est moins con-HOZÎER ( D’ ). Foj-, D’Hoziru. Fl^ DU VlWGXliîM£ VOLUME.