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îiOT ïieptas ;lotles de Pcivis ; Cft opuscu’e. aV :jit déjà paru . -ë parëment, à Zurich, en i044> iu-4 ,) ; du jnuiie ludujiie chre ion et papal ; des opinions des hébmix et des araljes, louchant les trcmblefrients de terie ; de l’usage de la ia’^gue hebiaï [ae contre les ralholiquesel h s andbfiplistes ; de ru>age de la langue arabe en îhëolcgic , eu nte’decme, en jurisprudence, en philosophie et en phdologie : iuîrodui lion à la iecltjre des Ptrcs de l’nsaj^e des Pères. VIII. Disscrtaiinnum miscellanearumpentas : i^. de ahiisu Pa-Irtnn ; i^. ddalogus scriptoruni ecclesia. sticoruni supposilitiorum ; 3 ’. Spécimen philosophiœ kistoricœj 4’ *«  Ireuicum helveticum ; 5" . Methodus lesi^cndi hist<^rins //clweticas ^ ihid. , 1 654 ’ i’^'^°« ^^^ ^"^^ pièces dont se compose ce volume assez lare, les trois premières oilrent peu d’interêl. La seconde est un abicgc, souvi-nl fautif, de (^ocus et de i>ivei< La dernière, qui ocope la plus ’«grande p-jrlie du volume, se ternnne p ;irui( discoursd’iiuttinger, <n> le(|uel il cèl’bre la ville de Z tridi, sa patrie, et en trace l’histOire succincte. IX . Diss. de subsidiis analjseos sacrœ , ubi prolixe de ^ sensu verborum inîtitiUlunis cœna* Dominicœ , ihid. , i6’)4, in 8".X./ï^ ris Hebrœorum leges ’lôi. juxta leiij. s Mosdicœ ordinern atque seritm depromplce ^ etc. XI . Smegma orientale sordibus btrbarismi contemplui vrcesertim lingiinram oriental, opposilum, îî’iu^lberg, «057, in-4 ’ — Proniptuariuni, sii’e BUdiulheca orientalis, etc. , ibij. , i658. JNou5. réunissons ces d<’ux oiivragr-», ntrre qu’ils n’en f )rment réellement qu’un seul divisé en •} . tomes. L Sinegma dont le pr’ nu(T tiir- C- . I, Pe usu lingiiaruni orienialium in rébus sacris, se coni|)ose de huit chapitres dans lesquels i’aulcur expose le niulif del’ouvr-’ige ; - !! combat respî’cei-dfoHbli, d© mépris où lestcjU les langues orientales, et démun re Tavantage qi/on en peut lirrr pour la paxfaite iuteliigfuce du texte sacré, Cts langues sont l’hébreu, le chcddérti, le-synaque, le, pr^an, le copte et réthiopieiï : il exa-^ , mine chacune de ces langues en particuli <r, et élablit les ressources q-se chacune d Iles peut ofTiir à la phiiolo ^ie sacrée. Le huitième chapitres plusé’endu que les autres, traire de l’usuge des langues orientais puur la théologie histoiique.Hollingtrvdonne riiistoire des patriarches et dt s pro- . pbètrs jusfju’à Jusué, tuéed’S aufeurâ orientaux. La Biblioiheca oritntalis j»orîe, au haut despogfs, centre : ^niegniat. lib. ///, p.n, quoique les huit çh< !pilres dont nou.’^ venons de p.jiler, ne composent que le i’^. livie (iu Smegma. Peut é.reHuitinger devait-il remplir cette Lcune du i’". livre à la deuxième partie du 111*= ., par quelque ouvrage qui n’aura pas vu le jour ; ou bi< n aura-t -il changé dede >sein, car il travaillai^, sans avoir de plan bien fie. La Bibl orient, contient sous divers chipitics un, catalogue des ouvrages composés en hébreu , en arube, en syriaque, en sa-^ maritain, en copte et en éthiopien.^ L’AppendixofTre un catalogue in» omplet et injprimé très incorrectement des manuscrits ar.ibes de la bibliothèque de l’Escurial, et lc> cat duciucs des manuscrits orieiitaux légués p.ir ; Scaliger à la bililiothèque de i.eydc, jutssédés par Kipeiùus, elrappoilés d’Egypte |»ar J. B. Uayjnundi. XII. { Grammatica ir ling. htbr, chuld. sjr.etarab.hannonjca, ibid., ib jn in-8 . liottinger rapporte les principe* de ces divriscs langues a l’hehreu dont il les lait dèilver. XI IL Cippi, Kebràici, eic, ibid. , lO^g, in 8".^ i6(ji, iG6i. C’est un traité éciit ^