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II.

L’air pur du mois des fleurs les balançait écloses…
Mais que lui font alors ou la neige ou les roses !
Il rêve aux beaux yeux bleus qui, jusques à son cœur,
En talisman d’amour, ont fait briller leur flamme,
Et cherche, réfléchie au miroir de son âme,
De leurs regards aimés la touchante douceur.

III.

(Élisa commença ce chant peu de temps avant sa mort. Les deux strophes ci-dessus se trouvent dans la Vieille-Pologne, publiée par M. Forster ; la troisième strophe était faite, mais elle n’a pas été écrite, et je n’ai pu me la rappeler.)