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Et ses astres, la terre et ses bêtes sans haine,
Celles des monts, des bois, et celles de la plaine,
Et les fleuves, et l’air sacré qui t’investit,
Et la femme dont l’œil est un ciel plus petit
Mais aux rayons plus doux que ceux des astres mêmes,
Afin qu’humble et ravi, tu m’adores et m’aimes,
Je te les donne, ainsi que le nom qui te sied. »

L’homme cria : « Pourquoi m’as-tu poussé du pied ? »