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ariane


Et bientôt sur les lierres
T’assoupir à demi
Parmi
Leurs troupes familières,
 
Cependant que le feu
De ta lèvre m’abreuve,
Ô veuve
Adorable d’un Dieu !

Mais, enfant, puisque l’ombre
Des grands ravins te plaît,
Il est
Une forêt plus sombre.