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fonctions cruelles de ces états de violence et de destruction, qui laissent au cœur la liberté de se recueillir en lui-même, et de reprendre sa sensibilité naturelle.

Pour conserver à ce premier ressort de toutes les impressions morales l’élasticité dont il a besoin, craignons également de le rendre ou trop faible, ou trop susceptible.

Évitons ce qui nous familiariserait inutilement avec l’image de la peine ou de la douleur, mais accoutumons-nous à voir sans faiblesse et la peine et la douleur que nous pouvons espérer d’adoucir ou de soulager.

Voulez-vous traduire le sentiment