Et puis, quand cela serait ! Est-ce qu’on n’est pas accoutumé à vous voir dans le pensionnat ? Vous êtes le neveu de notre directrice, vous avez été élevé ici depuis votre enfance.
Mais qu’avait-il donc de si merveilleux, cet animal ? Est-ce que je ne parle pas aussi bien que lui ?… Est-ce que je ne mange pas les bonbons aussi bien que lui ?
Il se bourre de bonbons.
Oh ! quant à cela… oui…
Mais ce n’était pas pour ça que nous aimions Vert-Vert… C’était pour sa bonté…
Pour sa tendresse…
Comme il nous regardait gentiment.
Et quand on lui donnait un baiser, comme il nous le rendait doucement.
Avec son gros bec !
Oh ! pour ce qui est d’embrasser… n’y comptez pas !
C’est donc bien effrayant !
Effrayant ? non ! mais ennuyeux, à ce qu’on m’a dit, du moins ! C’est ma tante qui m’a dit ça !
Eh bien oui, c’est vrai ! il n’embrasse pas, c’est une infériorité ; mais pour le reste je prétends qu’il est au moins l’égal de Vert-Vert, et que même il lui est supérieur !
De beaux yeux !