G A I L L A U D 1 N .
Angoujar, mon prince, Angoujar... marquis de Valangoujar.
YEn. MON TOFF, i Diiparquct.
AUez tout de suite... n’est-ce pas, cher monsieur Duparquet?
D U P . R Q U E T .
Tout de suite, mon noble ami.
Il sort.
Scène IV
GAILLARDIN, YERMONTOFF, P"is IVAN. lis sc rnirarilcnt tons Ics deux.
YEUMONTOFF.
Ell bien, marquis?
G A 1 1. 1. A R D I N .
Mon prince!...
YERMONTOFF , allant a irauclip, jircs du giu-riilon. Croyez-moi. je vous prie... je suis tout a fait aisc de souper avec vous... vous avcz unc physionomic...
GAll.I.ARDIN, coniiis.
Vous me flattez...
VEilMO.NTdFF.
Vous etes candide. je suis sur. ..
GAILLARDIN, sc rcvoltant.
^’ous dilcs... comment?... candide!
V i: HMD N T ( ) F F .
Si (ait!... vous autres Franc-ais, vous etes candides... niais vous mcttez de I’amour-propre a ne pas vouloir en convenir.
