Page:Maupassant - Yvette.djvu/248

Cette page a été validée par deux contributeurs.

une de ses voisines, lui revenait obstinément dans la tête :

Quand le bois reverdit,
Mon amoureux me dit :
Viens respirer, ma belle,
Sous la tonnelle.

Il le fredonnait sans fin, le recommençait tou-