Page:Maupassant - Une vie, OC, Conard, 1908.djvu/394

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
380
UNE VIE.

Mais Rosalie, contente et bourrue, l’arrêta. « Voyons, voyons, madame Jeanne, finissez ; vous allez la faire crier. »

Puis elle ajouta, répondant sans doute à sa propre pensée : « La vie, voyez-vous, ça n’est jamais si bon ni si mauvais qu’on croit. »