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Tu t’en allais sans nous dire adieu... sans nous embrasser ?


GILBERTE.

Oui, pour éviter d’entendre encore discuter.


LÉON.

Elle a raison, qu’ils s’en aillent, qu’ils s’en aillent !


GILBERTE, sautant au cou de Petitpré.

A demain, père ! A demain, ma tante !... Adieu, tout le monde, je n’en peux plus d’émotion et de fatigue.


MADAME DE RONCHARD, allant à elle et l’embrassant.

Oui, va vite, ma chérie ! Il y a là-bas un petit enfant qui attend une mère !



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