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MARROCA.

mais une cour intérieure les éclaire du haut en bas. Elles ont, au premier, une grande salle fraîche où l’on passe les jours, et tout en haut une terrasse où l’on passe les nuits.

Je me mis tout de suite aux coutumes des pays chauds, c’est-à-dire à faire la sieste après mon déjeuner. C’est l’heure étouffante d’Afrique, l’heure où l’on ne respire plus, l’heure où les rues, les plaines, les longues routes aveuglantes sont désertes, où tout le monde dort, essaye au moins de dormir, avec aussi peu de vêtements que possible.

J’avais installé dans ma salle à colonnettes d’architecture arabe un grand divan moelleux, couvert de tapis du Djebel-Amour. Je m’étendais là-dessus à peu près dans le costume d’Assan, mais je n’y pouvais guère reposer, torturé par ma continence.

Oh ! mon ami, il est deux supplices de