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royal, plongeait dans le lac sacré de Vihara tout un côté de ses murailles. Il était carré, présentant sur ses quatre faces trois rangs superposés de galeries à colonnades divinement ouvragées. À chaque angle s’élançaient des tourelles légères, hautes ou basses, seules ou mariées par deux, de taille inégale et de physionomie différente, qui semblaient bien les fleurs naturelles poussées sur cette gracieuse