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m’en allai dans un état d’esprit épouvantable.

Que faire ? J’avais abusé de ma cliente. Cela n’eût été rien si j’avais eu un client pour elle, mais je n’en avais pas. C’était moi, le client, le client naïf, le client trompé, trompé par lui-même. Quelle situation ! Je pouvais la lâcher, c’est vrai. Mais la dot, la belle dot, la bonne dot,