Page:Maupassant - L'amour des poètes (extrait de Gil Blas, édition du 1883-05-22).djvu/14

Cette page a été validée par deux contributeurs.

nables, désabusés et désolés, ils s’écrient, comme Bouilhet :


Qu’es-tu ? qu’es-tu ? Parle, ô monstre indomptable
Qui te débats, en mes flancs enfermé !
Une voix dit, une voix lamentable :
« Je suis ton cœur, et je n’ai pas aimé !!!

MAUFRIGNEUSE.