Page:Maupassant - Fort comme la mort.djvu/300

Cette page a été validée par deux contributeurs.

Elle ne lui disait point ces choses, mais elle les gémissait vers Lui, dans la plainte confuse de son âme.

Puis, s’étant relevée, elle s’asseyait devant sa toilette, et, avec une tension de pensée aussi ardente que pour la prière, elle maniait les poudres, les pâtes, les crayons, les houppes et les brosses qui lui refaisaient une beauté de plâtre, quotidienne et fragile.