Page:Maupassant - Bel-Ami, OC, Conard, 1910.djvu/602

Cette page a été validée par deux contributeurs.

perceptible poussière de vie perdue dans la poussière infinie des univers. La bestiole qui s’agite quelques minutes, et la terre ce grain de sable qui tourne dans l’espace, ne demeurent-ils pas également insignifiants dans l’ensemble illimité de ce qui est ? La mort de l’une, la fin de l’autre, ne passent-ils pas également inaperçus dans l’éternel renouvellement ? Et Du Roy que le silence…

Page 400, ligne 18, Jugeant de haut la création, prononça du bout des lèvres : « C’est petit l’homme. »

Page 410, ligne 28, la muraille, les portes…

Page 412, ligne 1, Debout sur les degrés du portail…

Page 420, ligne 2, il l’étreignit comme…

Page 421, ligne 9, Maroc, demeuraient menaçantes.

Page 426, ligne 9, cherchait s’il n’avait plus rien à dire. N’ayant…

Page 427, ligne 28, bandeaux de garçon coiffeur. Il…

Page 432, ligne 2, dis, mon chéri.

Page 432, ligne 16, si tard

Page 437, ligne 3, d’abord. » Et si elle m’en demande la raison… quelle raison invincible puis-je lui donner ?

Il cherchait un motif tel qu’elle n’eut rien à répondre, un argument sans réplique et sans échappatoire, mais lequel ?

Il s’arrêta net. Il avait trouvé et il riait de son idée.

« Je vais lui dire que je suis amoureux fou de Suzanne ! Je verrai bien ce qu’elle pourra répondre à cela ! »

Et il entra chez lui pour attendre…

Page 451, ligne 4, elle prononça : Oh ! cochon, tu as…

Page 500, ligne 14, Il articula durement :

Page 536, ligne 26, — Et comme on voudra vous faire