vous voulez me prendre sans vart3. Eh bian ! le sujet de voute requête, à quoi prétend-il !
D’abord à votre cœur, ensuite à votre main.
Voilà ce que c’est.
C’est coucher bien gros tout d’une fois. Voilà bian des affaires. Traite-t-on du cœur d’un homme comme de ceti-là d’une femme ? faut bian d’autres çarimonies.
Jé mé suis pourtant fait fort dé votré consentement.
J’ai compté sur l’amitié que vous avez pour Fontignac.
Oui ; mais voute compte n’est pas le mian : j’avons une autre arusmétique.
Né vous en défendez point. Il est temps qué votre modestie cède la victoire. Jé sais qu’ellé vous plaît, cetté tendre et charmante fille.
Eh ! mais, en vérité, taisez-vous donc, vous n’y songez pas. Il me viant des rougeurs que je ne sais où les mettre.
Mon dessein n’est pas de vous faire de la peine :