Page:Marie de France - Poésies, éd. Roquefort, I, 1820.djvu/63

Cette page a été validée par deux contributeurs.
47
PROLOGUE.

si preux et si courtois, vous qui possédez toutes les qualités du cœur et de l’esprit, que j’ai rassemblé les Lais que j’ai traités. Aussi la reconnoissance me fait-elle un devoir de vous en faire l’hommage ; je n’éprouverai jamais de plaisir plus grand, si vous daignez l’accepter, et ne perdrai jamais le souvenir de cette faveur. Veuillez ne pas m’accuser de présomption, si j’ose vous offrir mon travail, et daignez en écouter le commencement.


Séparateur