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Bien.

Les biens de la terre sont comme les meubles d’une hostellerie, dont nous ne devons nous soucier, que tant que nous y sommes.

Le souverain bien de l’homme est la vie eternelle, et le souverain mal la mort eternelle.

Celuy qui se force de bien faire, merite quelque chose.

Le bien qu’on achette au pris des tourmens, est d’autant plus doux qu’il est moins perissable.

Il semble que le bien par-