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Vous avez tellement estably vostre souveraineté sur mon ame, qu’un seul clin de vos yeux dispose de l’estat de ma vie.

Si mes yeux vous ont eslancé des esclairs de ma bonne volonté, mon ame les advoue.

Il fallut en la fin que ses desportemens interpretassent ses œillades, et publiassent ce que sa langue laissoit au silence.

Les artifices de ses yeux guidoyent tous cœurs à sa volonté.

Si tost que ceste beauté es-