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ce du malheur.

Je n’entens point que mes volontez aillent devant les vostres, ni quelles offencent l’obeissance que je vous doy.

Il n’y a point d’autre destin en mes evenemens, que vostre unique volonté.

La fortune a usurpé sur ma volonté, ce que mon devoir vous reservoit.

Mon cœur formé au patron de vos volontez, peut recevoir toute impression de vous, sinon une, qui est de n’estre point vostre.

Plus vous m’offrez de bonne volonté, plus vous acquerez