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re pour les infortunez, c’est l’oubliance du bien.

C’est la longueur du temps, qui amoindrit, ou bien augmente la douleur des maladies plus cruelles.

Ceux là ne pensent jamais aux remedes, qui content leur maladie pour santé.

Rendre Graces.

Vos presens me seront tousjours presens en la memoire, j’en auray tousjours la louange à la langue, et l’obligation au cœur.

Vos services m’ont rendu