Page:Marguerites françaises.djvu/441

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Ma qualité ne peut recevoir des mains de la fortune une gloire plus haute que l’estat de vostre merite.

Vous ne devez ravir à mon affection l’aisle de son esperance, qui se limite sous l’heureuse alliance d’un doux hymen.

Faites que je reçoive par l’organe seulle de vostre volonté, l’armonieuse douceur qui doit prononcer l’arrest de ma vie.

Si ma constance, mes vœux, mon amour et ma fidelité ombragent la douceur de vostre ame, je dois recevoir de vous