Page:Marguerites françaises.djvu/362

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

ce, qui se peut imaginer pour vous rendre content.

N’estant né que pour vous obeir, je reçoy un extréme gloire, que mon obeissance vous apporte le contentement que vous desirez.

Obligation.

Où il n’y a point d’obligation, il n’y a point de devoir.

Aucune dame ne tient mon ame obligée, outre le devoir universel, que vous seule, que je desire servir.

Celuy qui s’acquite de son